La Psyché permet un moment de recueillement, où chacun peut prendre le temps de se regarder. Un moment d’intimité avec soi-même, qui renvoie à la vérité, à celle de l’apparence et de la fuite du temps. Le miroir est un instrument d’intégration et d’identification du spectateur à l’œuvre.
Cependant, la relation au miroir n’est plus celle de l’intériorité, ni de l’occasion de la rêverie, mais parle d’une époque de superficialité, de chatoiement des apparences, de la platitude du faire semblant. Il ne s’agit plus de ‘réfléchir’ mais désormais de s’inscrire dans le règne de l’image. La question de l’identité et du Surmoi disqualifiant est ici implicite.
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